jeudi 7 juin 2007
CHAMPS POUR FAIRE DE LA BIERE
En géographie humaine, la campagne caractérise un type de paysage rural formé de champs ouverts , sans clôtures ni haies. Ce terme s'oppose à bocage
Une définition de paysage aujourd'hui largement partagée est celle contenue dans la Convention européenne du paysage, adoptée sous les auspices du Conseil de l'Europe en 2000. Selon cette définition "paysage désigne une partie de territoire telle que perçue par les populations, dont le caractère résulte de l'action de facteurs naturels et/ou humains et de leurs interrelations".
La notion de paysage évolue Avant le 19ème siècle, les auteurs ne font que rarement allusion au paysage. Ensuite il est nettement compris dans le champs où le regard porte, puis peu à peu des images aériennes, voire des photos satellites sont assimilées à des paysages.
La notion actuelle de paysage est somme toute assez récente
En arrivant sur un lieu, c'est tout d'abord la vue qui guide l'individu. C'est un réflexe naturel, un automatisme. Une impression générale va se dégager du paysage que l'on découvre pour la première fois : il va nous sembler beau, calme et reposant, laid, ou monotone, parfois malodorant ce qui implique un deuxiéme sens : l'odorat .En effet par chez nous au moment des labours ça chlingue ça fouette d'ou l'expression "He Ben mon fumier Y zont mis la dose" , ou celle -ci." Y s'y vont pas avec le dos de la cuillére ".
Ces deux expressions familiéres sont pleines de bon sens car elles rapellent les notions de contenant et de contenu comme sur le paysage ci-dessus : le champ contient de l'orge et l' orge est contenue dans le champ .
MOI -MEME PAR MOI-MEME
Le visage dans sa morphologie et sa mimique dessine( lapsus c'est la main qui dessine et non pas le visage ) le tempérament, les attitudes, l'état d'âme de la personne: le masque, le fard, l'étude des extériorisations de soi, vont être autant de facteurs tendant à insister sur l'artifice qu'on peut y mettre. Tel exprime par le froncement des sourcils qu'il est énergique et dominateur. Il se pourrait que ce fut un portrait provisoire, composé pour quelque regard intérieur ou extérieur. Il peut aussi advenir qu'il s'agisse de la simple manifestation d'une forte personnalité. Walter Hégar (1938 célébrement inconnu du grand public) a trés justement insisté sur le fait que toute manifestation de soi( ne pas confondre avec soie qui donne l'expression on n'est pas tiré de la soie ce qui n'a absolument rien à voir ), fut-elle extrêmement artificielle, recèle au moins les indices permettant d'aboutir à une connaissance approfondie du personnage. L'effort de trucage lui même signant son passage par des traces de conflit entre l'image recherchée et le besoin impérieux pour les émotions d'apparaitre à la lumière. C'est ainsi, par une sophistication supplémentaire, que la psychopathologie de l'expression reprend du poil de la bête. Mais un jeu de troisième degré peut encore se concevoir, et de quatrième et de n-ième degré, auquel une plus grande vigilance et une plus grande astuce du chercheur pourraient répondre selon la dialectique bien connue du sabre et du bouclier...OUAH la vache comme c'est bien dit c'est pas faux en tout cas mais ça j'aurai eu du mal à l'inventer .Bon baisers de ST GER et restez comme vous êtes .
LEZARD ,LEZARDER , GLANDER
Au stade adulte il a une silhouette élancée, une tête longue, un peu déprimée et au museau conique, un corps mince et assez aplati, une longue queue effilée et des pattes fines à longs doigts. La coloration et le dessin présentent une grande variabilité selon les individus. Les parties supérieures de la majorité des exemplaires varient du gris au brun, avec parfois une teinte verdâtre. Les flancs montrent, surtout chez la femelle, deux raies longitudinales ou séries de taches claires qui délimitent une bande brun foncé souvent tachetée de clair. Le milieu du dos montre fréquemment une ligne vertébrale foncée ou une série de taches sombres. Le dos, en particulier celui du mâle, est moucheté ou marbré de brun foncé ou de noir. On observe assez régulièrement des sujet ayant une queue anormalement courte: résultat d' une autonomie .
Le Lézard des murailles se nourrit surtout d' insectes, mais aussi d' araignées, de petits mollusques, de cloportes, de lombrics,... L' eau indispensable provient non seulement de la rosée, mais aussi de certaines feuilles ou fruits charnus. Le lézard passe son temps à glander au soleil c'est en fait une grosse feignace mais il en faut .Souvent quand arrivent les beaux jours beaucoup s'installent sur les murs , aprés cette période ils disparaissent on ne sait où , drôle de vie !
Pour conclure , le lézard roupille toute l'année et aprés il se repose .
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