dimanche 11 janvier 2009

SIMPLE

La Grande Berce en phytotherapie est un excitant, aphrodisiaque (il y a présence d'une substance analogue aux hormones mâles) son action serait comparable au ginseng .On l'utilise dans les cas de frigidité, d‘impuissance et d’asthénie .Mieux que le viagra et c'est au bord des chemins .
Après les fêtes on peut l'utiliser dans le cas de troubles digestifs (gastrite et entérite).
Les simples sont doubles parfois il faut le savoir c'est tout . Le père Bruillaud nous fait souvent remarquer que "Rien ne vaut une bonne salade de pissenlits avec des croûtons "

4 commentaires:

Anonyme a dit…

Voilà l'histoire d'une expression connue de tous, mais très souvent mal orthographiée.
Par un beau jour d'automne 1820, le duc de Mirnouf, passionné par la chasse mais frustré par le maigre gibier qu'il ramenait de ses pérégrinations forestières, imagina qu'il devait être possible de fabriquer un outil apte à lui faciliter la tâche et rendre plus plaisante sa traque des animaux.
Il convoqua tous les artisans de la contrée pour mettre au concours la concrétisation de cette idée et leur laissa deux mois pour fabriquer le plus inventif et le plus efficace des appareils.
A peine une semaine plus tard, un marchand du nom de Martin Écouille, se présenta au château clamant à qui voulait l'entendre qu'il possédait ce dont le duc rêvait.
Il obtint sans peine une audience auprès du noble seigneur et s'empressa de lui faire la démonstration de sa merveille.
Devant une assemblée dubitative mais curieuse, il sortit de sa poche un minuscule sifflet (un appeau) et le porta à la bouche pour produire un son strident qui aussitôt imposa le silence parmi les personnes présentes.
A peine quelques secondes plus tard, des dizaines d'oiseaux de toutes sortes s'étaient approchés et virevoltaient autour de lui, comme attirés et charmés par cette étrange mélodie.
Le duc imagina sans peine le profit qu'il pouvait tirer d'un tel accessoire lors de ses futures chasses.
Il s'éclaircit la gorge et ne prononça qu'une seule phrase :
Combien cela va-t-il me coûter ?
Martin Écouille, sûr de lui, répondit qu'il accepterait de se séparer de son objet en échange de la moitié de la fortune de son interlocuteur.
Cette requête fit sourire l'assemblée mais le duc garda tout son sérieux et accepta la transaction.
La nouvelle fit grand bruit et se répandit vite bien au delà des limites du duché.
Un marchand avait vendu un sifflet pour une somme astronomique au Duc qui en paya le coût sans broncher.
On ne sait plus aujourd'hui ce qu'il advint du marchand et l'objet n'a hélas pas survécu aux années mais cette anecdote a subsisté dans la langue française pour qualifier les objets hors de prix :
« Cà coûte l'appeau d'Écouille ».
Un peu de culture ne peut pas faire de mal.

Anonyme a dit…

Toi tu sais t,es un bon si, si, je te le dis ,toi ,t,es un bon (cf. Mafia Blues ,R .De NIro ) PhilDom

Anonyme a dit…

Au faite l'histoire du

"Cà coûte l'appeau d'Écouille"

C'est de moi
Cailloux

Longue vie à ce bloug de malade
et Vive St Ger les cloches

pier a dit…

OK Caillou c'est bon pour cette fois je te publie car l'histoire est longue la chute est courte mais néanmoins grivoise et tu peux relire toute la saga de ce blog de malade sans y trouver une once de grossiereté faut pas déconner bordel de merde on n'est pas là pour ça .Cependant dans cette histoire plusieurs mots ont retenu mon attention dubitative orthographiée et virvoltaient anecdote employés à bon escient et te connaissant Caillou je dois dire que tu m'en bouches un coin C'est parfait .