mardi 6 novembre 2007

SACRE VICTOR H


Quand le soc a passé, la plaine devient blonde,
La paix aux doux yeux sort du sillon entr'ouvert,
Le soir, à la campagne, on sort, on se promène,
Le pauvre dans son champ, le riche en son domaine
Je vais volontiers seul. Je médite ou j'écoute.
Pourtant, si quelqu'un veut m'accompagner en route,
J'accepte. Chacun a quelque chose en l'esprit ;
Voici que la saison décline,
L'ombre grandit, l'azur décroît,
Le vent fraîchit sur la colline,
L'oiseau frissonne, l'herbe a froid

Victor Hugo mélange

2 commentaires:

Fred a dit…

Je comprend que tu as peur de te faire voler d'aussi splendides photographies, l'internette c'est plein de rôdeurs à l'affût d'un mauvais coup. D'là à t'en retrouver une en couverture de Voici-voila, y'a pas loin. Le mieux est de coller ton nom en très très gros par dessus la photo, avec une couleur qui se voit de loin, l'orange fluo est pas mal pour cet usage.

Fred a dit…

J'ai oublié, Victor Hugo c'est un pote à toi ? Pasqu'au bourg, y'a une rue qui s'appelle pareil. C'est-y le même gars ?